Exposé en physique des couleurs (découverte d'un nouveau système de contrastes rotatifs, disques de Robardet)
Exposé sur la recherche en "physique des couleurs"
(Découverte d'un nouveau système de "contrastes rotatifs", disques de ROBARDET)
(Découverte protégé juridiquement)
"Qui pense peu, se trompe beaucoup" (Léonard de VINCI).
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Ce nouveau système de contrastes rotatifs est à la porté de tout le monde, il suffit de faire tourner des disques (même manuellement) à petite vitesse, en présence de la lumière de tubes "fluorescents blancs à vapeur de mercure" appelé communément tubes au "néon", ceux-là même que l'on peut trouver dans les maisons, appartements ou bien dans des ateliers, mais qu'ils ne soient pas des tubes avec des lampes LED.
(Découverte d'une nouvelle théorie sur la radiation de la lumière de tubes fluorescent blanc à vapeur de mercure)
Si j'utilise le terme de ''physique des couleurs'' ce n'est pas pour parler du mélange des couleurs, ce serait trop simple, tous les peintres font ça tous les jours et à quelques niveaux que ce soient (bâtiment, industrie, décoration, artistes peintres ...), mélanger des couleurs pour obtenir de nouvelles teintes ou nuances, c'est le travail quotidien des peintres.
En ce qui me concerne, avec les connaissances techniques professionnelles acquises en matière de peinture, je me sens plus applicateur technique de la peinture et de la couleur qu'artiste peintre, actuellement j'ai arrêté mes travaux de dessinateur, de lithograveur (graveur sur granit) ainsi que d'artiste peintre pour me consacrer au stimulus de la couleur. Le stimulus tient compte de 4 éléments, une source de lumière, un objet éclairé, les yeux comme capteur et le cerveau qui traite les informations.
Au cours des 500 dernières années, à partir de la renaissance, des chercheurs et des artistes se sont penché sur le phénomène du stimulus de la couleur. Toutes ces personnes ont voulu répondre à cette question : "... La couleur, c'est quoi?, comment nos yeux la perçoivent-ils...".
Si un philosophe pose la question : "Un objet, a-t-il une couleur quand on ne le regarde pas?", le physicien lui répond : "Non seulement un objet n'a pas de couleur quand on ne le regarde pas, mais il n'en a pas non plus quand on le regarde" (La relativité des couleurs, Françoise VIENOT).
La couleur n'est pas une pellicule posée sur un objet, c'est une sensation construite dans le cerveau de l'observateur. Une couleur n'est jamais isolée, elle est toujours vue dans un environnement qui en altère la perception. La lumière joue également un rôle important sur les couleurs, en modifiant l'éclairage, on modifie les couleurs.
En juxtaposant deux teintes, elles pourront paraître plus ou moins foncés pour une même couleur (voir les exemples ci-dessous).
Dans les deux exemples, le jaune est exactement le même, celui entouré de blanc parait plus foncé que celui entouré de noir.
Un peintre doit toujours avoir en mémoire pour ces mélanges de couleurs de la "synthèse additive" et de la "synthèse soustractive" :
Synthèse additive : la synthèse additive s’obtient en mélangeant le "rouge orangé, le vert et le bleu outremer" pour obtenir le "blanc".
Synthèse additive (selon Wikipédia)
Synthèse soustractive : la synthèse soustractive s'obtient en mélangeant "le Magenta, le jaune primaire et le cyan" pour obtenir le "noir", (soit, les trois couleurs primaires apprises aux beaux-arts).
Synthèse soustractive (selon Wikipédia)
Décomposition de la lumière par NEWTON
art cinétique création Michel ROBARDET
En fixant l'ensemble de ce tableau en peinture à l'huile que j'ai créé, on a l'impression que les ronds tournent.
Mon questionnement sur l'art cinétique n'est pas le but de mes recherches, mais fait parti d'un raisonnement indispensable pour comprendre le rôle déterminant que joue la lumière sur les objets et l'interprétation que peut en faire notre cerveau.
Mes recherches dans le domaine des contrastes rotatifs, simultanés ou bien en art cinétique ont été influencées par NEWTON, CHEVREUL et par le psychologue allemand Gustav FECHNER et sa découverte sur les couleurs subjectives en faisant tourner des disques peints en noir et blanc. Du fait, que ce sont des couleurs subjectives, chaque personne peut voir des couleurs différentes, c'est le cerveau qui décide de la couleur en fonction des couleurs environnantes (voir à couleurs subjectives de Gustav FECHNER).
Nouveau système de contrastes rotatifs
C'est surtout en partant des recherches faites par le physiologiste et physicien allemand Hermann Von HELMHOLTZ (1821 - 1894) que j'ai découvert un nouveau système de contrastes rotatifs, en faisant tourner un disque divisé en plusieurs parts équivalentes de noir et de blanc (32 noirs et 32 blancs) en présence de "tubes fluorescents blanc à vapeur de mercure", j'ai pu capter la couleur rouge sur le noir et un vert-bleuâtre sur le blanc, cette découverte fait partie du domaine de la physique, ces couleurs obtenues, contrairement à celles de FECHNER, ainsi que de celles de BENHAM, ne sont pas subjectives, mais bien réelles, ensuite, j'ai adapté ce principe aux couleurs chromatiques.
Hermann Von HELMHOLTZ en optique il a développé l’hypothèse de Thomas YOUNG, qui, selon laquelle la perception de la couleur est due à la présence sur la rétine de trois types de récepteurs qui réagissent au "rouge, au vert et au bleu" (théorie de YOUNG - HELMHOLTZ, Wikipédia).
HELMHOLTZ en 1860 a créé le "diagramme des couleurs", pour lui les couleurs de bases étaient le
"violet-rouge, le vert et le bleu" (d'après colorsystem).
En physique, il est important de savoir ce qu'est une lumière blanche, cette lumière est celle du jour, donc celle qui nous parvient du spectre solaire, certaines lumières artificielles peuvent être des "lumières blanches" (ampoules à filaments incandescents, lampes à LED, etc ...).
"Les tubes fluorescents blancs à vapeur de mercure" diffusent de la lumière blanche. Jusqu'à présent, on pensait que le rayonnement de ces tubes diffusait un rayonnement ultra-violet. En découvrant un nouveau système de "contrastes rotatifs", j'ai découvert que ces tubes diffusaient uniquement un rayonnement dans le rouge, mais uniquement sur les couleurs froides (bleu, vert, violet, sur le noir et le gris, le blanc agissant uniquement par rémanence avec ces couleurs et teintes), voir ci-après le développement de cette théorie.
En découvrant ce nouveau système de contrastes rotatifs, j'ai voulu comprendre la "réaction physique" de ''la radiation de la lumière blanche de tubes fluorescents à vapeur de mercure" sur mes disques en rotation. Cette étude m'a amené à découvrir une nouvelle théorie sur la "radiation de la lumière blanche de tubes fluorescents à vapeur de mercure".
Étant né pendant la guerre en 1944, enfant, je n'avais pas de jouets, mes seuls jouets étaient les éprouvettes, tubes à essai, pipettes et autres tubes gradués, règles de calcul, etc... de mon père (1905 - 1998) chimiste coloriste à la "société des peintures DUCO", chimiste biologiste et préparateur en pharmacie, il a terminé sa carrière de chimiste en 1968 chez ''ISOGIL" (sous-chef de laboratoire), cette société fabrique les panneaux d'isorel.
Dés mon enfance, mon père m'a initié à la connaissance des contrastes simultanés et à l'élaboration de la peinture et des pigments d'une façon scientifique et chimique, sur un plan technique et pratique des couleurs industrielles. Ce qui m'a donné le virus de faire des recherches scientifiques sur un côté pratique et non-scientifique (n'étant pas un scientifique).
Par passion depuis mon enfance et grâce à mon père, je fais de la recherche, suite à des concours de circonstances, il m'est arrivé de faire de la recherche en 1973 pour Pierre FABRE, le fondateur des laboratoires pharmaceutiques "Pierre FABRE", ce qui m'a aidé à m'élever professionnellement. (mes recherches ont été validées, testées et approuvées par les analystes du laboratoire Pierre FABRE en janvier 1974).
Quand Pierre FABRE a acheté sa première pharmacie en 1951 pour faire ses recherches place Jean JAURES à Castres (Tarn), mon père à ce moment-là était préparateur en pharmacie dans la pharmacie RULAN, attenante à celle de Pierre FABRE, dans l'angle de la rue Victor HUGO au n° 8. En 2017, la devanture de cette pharmacie n'a toujours pas été repeinte depuis cette époque.
Au cours de ma vie, après un parcours atypique, j'ai été peintre en voiture (C.A.P. de peintre en voiture), peintre au pistolet chez l'équipementier automobile VALEO, lithograveur, dessinateur (1° prix de gravure et d'application du dessin) école municipale de dessin de Castres (Tarn) , artiste peintre.
Mes recherches en colorimétrie ont été réalisées avec mes connaissances techniques professionnelles acquises avec mon père, dans la carrosserie automobile, ainsi qu'avec des ingénieurs et techniciens au milieu des années 1960 chez l'équipementier automobile VALEO pour mettre au point de nouvelles peintures et vernis cuits au four ou en étuve, pour les constructeurs automobiles (Renault, Peugeot, Citroën, Simca, etc...), j'étais devenu également un spécialiste des peintures "vermiculées et martelées", les "peintures au trempées", la mise en place d'un pistolet "électrostatique" pour peintre en série des amortisseurs de voitures pour les U.S.A.
Chez l'équipementier automobile VALEO du fait de la polyvalence, je suis passé également par les "bains par électrolyse", la "métallisation sous vide", ainsi que par la "plasturgie", "les presses à découper et à emboutir les pièces en métal et en acier" ce qui fait que je connais tous les traitements industriels de surface pour les supports métalliques et plastiques, toutes ces connaissances professionnelles m'ont aidées pour faire mes recherches scientifiques.
En plus d'être salarié chez l'équipementier automobile VALEO, j'étais artisan en lithogravure et portraitiste sur granit ( je travaillais 40 heures par semaine chez VALEO, parfois plus et 45 heures par semaine comme graveur sur granit, inscrit au registre des métiers, j'ai réalisé plus 6 000 gravures, dont environ 300 portraits).
Art cinétique, peinture à l'huile sur panneau de médium (création ROBARDET)
En fixant le centre de cette figure que j'ai créé on à l'impression que l'image fait un mouvement de va et vient au rythme des pulsations cardiaques, en regardant simultanément cette image à gauche et à droite on la voit scintiller par rémanence.
(Il peut y avoir des variantes d'un individu à l'autre en fonction de la sensibilité de la rétine des yeux que peuvent mieux percevoir certains individus que d'autres, surtout que cette image est grise et qu'il n'y a de ce fait que les bâtonnets de la rétine qui entre en action). (voir ci-après le schéma de la rétine des yeux).
A la retraite à partir de 2001 j'ai repris la lecture de livres de mon père sur la fabrication des pigments, peintures et additifs, ce qui m'a amené à écrire trois livres sur la fabrication naturelle et chimique des pigments, de l'élaboration de la peinture et des vernis, ainsi que du mélange des couleurs.
Je me suis également intéressé à un personnage qui comptait beaucoup aux yeux de mon père, le chimiste allemand Wilhelm OSTWALD (1853 - 1932), à partir de 1901 Ostwald s’intéressa à la "théorie des couleurs", en 1909, il a reçu le "Prix Nobel de chimie", pour ses travaux sur la "catalyse chimique"
C'est à la retraite qu'il s'est consacré lui aussi à l'étude des couleurs afin d'expliquer scientifiquement les harmonies de sensations des couleurs.
OSTWALD s'est penché tout d’abord sur l'étude du blanc, du noir et du gris. Après observation, il s'est aperçu que le blanc renvoie 100 % de la lumière qu'il reçoit, que le noir le plus profond en absorbe 98 % et n'en renvoie que 2 %.
Un gris intermédiaire (c'est à dire un gris à 50 % de noir et 50 % de blanc) devrait en renvoyer 51 %, l'excitation visuelle croit plus vite que la sensation, ce qui fait que pratiquement, il n'en renvoie que 14 %.
Recherche colorimétrique d'Ostwald (d'après colorsystem)
En tenant compte de ce fait, OSTWALD a classé les couleurs non-chromatiques: blanc, gris et noir en une gamme à échelon égaux partant du blanc le plus pur pour arriver au noir le plus pur, il a ensuite classé de la même façon les couleurs chromatiques. (Couleurs et Vernis de Ch. COFFIGNIER, 1938).
Si on s'accorde à dire que le blanc et le noir ne sont pas des couleurs chromatiques, mais des teintes, par contre, le blanc renferme toutes les couleurs du spectre solaire (rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet), (voir les couleurs du spectre solaire de NEWTON).
Le noir quand à lui renferme les trois couleurs théoriques de bases ( le Magenta, le jaune primaire et le cyan). C'est le principe des encres pour imprimantes, mais du fait des impuretés on est obligé malgré tout de mettre du noir dans les imprimantes.
Par mélange, on peut obtenir un noir aussi intense que le ''noir d'ivoire'' en mélangeant du ''bleu de cobalt avec du jaune de cadmium moyen'', en y incorporant ensuite un ''rouge élaboré avec des pigments de quinacridone (c'est ce pigment qui donne la teinte Magenta). En mélangeant ce noir avec du blanc de titane, on obtient un ''gris tirant sur le violet''.
Si un peu plus haut, je parle de couleurs théoriques de bases, c'est que (le Magenta n'est pas considéré comme une couleur, mais comme une teinte), c'est un rose-violacé, il ne fait pas parti des couleurs naturelles du spectre solaire, ni des couleurs du cercle chromatique.
(Dans le cercle chromatique, le rouge de base est un rouge-orangé) le même rouge que celui qu'a obtenu NEWTON en décomposant les 7 couleurs spectrales.
Le Magenta est un colorant d'aniline inventé en 1858.
Ce Magenta à été remplacé dans les années 1950 par les pigments organiques de synthèses (quinacridone).
Dans mes recherches en art cinétique, j'utilise beaucoup le blanc et le noir, en deux teintes, j'utilise toutes les couleurs du cercle chromatique. ainsi que des trois couleurs de bases contenues dans le noir (le Magenta, le bleu et le jaune), le gris me servant uniquement pour les fonds. Les marrons, les beiges et les ocres n'étant pas des couleurs, mais des teintes.
Dans les études que je fais en art cinétique, j'emploie essentiellement la figure ronde, en concentrant plusieurs disques blancs et noirs qui vont par ordre décroissants, j'arrive à capter la lumière qui se diffracte, ce qui a pour incidence d'éblouir les personnes qui regardent mes figures géométriques, par contre les figures carrés ne captent pas la lumière, ou beaucoup moins (voir le tableau ci-dessous).
Peinture à l'huile sur panneau de médium (Création ROBARDET)
Dans cette figure, j'ai réinterprété la grille de HERMANN en remplaçant le noir par le rouge et en y ayant ajouté des cercles noir et blanc.
Diffraction de la lumière : la diffraction est le comportement de la lumière lorsqu'elle rencontre un obstacle, cette lumière est alors renvoyée dans toutes les directions.
Absorption de la lumière : l'absorption est le comportement de la lumière lorsqu'elle rencontre une couleur foncée, toutes les couleurs et teintes absorbent plus ou moins la lumière et en diffracte également (c'est le noir qui en absorbe le plus, 98 % et n'en diffracte que 2 %).
En fixant les ronds noirs et blancs (de la figure ci-dessus) et en regardant simultanément à gauche et à droite on voit des ronds qui scintilles par rémanence.
En conclusion, on peut dire que les ronds noirs et blancs diffracte la lumière beaucoup plus que les carrés noirs et blancs ou blancs et rouges.
A noter qu'au centre de mes figures rondes j'ai fixé des diamants en cristal dont les facettes de ces diamants renvoient les couleurs du spectre solaire, c'est pour moi une façon de rendre hommage au prisme de NEWTON.
En partant de livres anciens de mon père sur la découverte des couleurs spectrales de Isaac NEWTON et avec lesquels il est arrivé à recomposer le blanc par la rotation de disques, j'ai à mon tour réalisé une dizaine de disques avec des tons plus ou moins foncés du spectre solaire pour voir les différents tons de gris ainsi obtenus.
Avec un de ces disques, à une vitesse relativement lente, la couleur bleue capte la lumière naturelle ou artificielle et la rotation de ce disque à la propriété d'éblouir.
M. ROBARDET, d'après le disque de NEWTON (peinture à l'huile sur contreplaqué)
Selon le livre de physique de J. LANGLEBERT (octobre 1886), ce disque est en carton de 30 à 40 centimètre de diamètre, mobile autour d'un axe horizontal. Au centre et vers la circonférence de ce disque sont deux zones peintes en noir, dans l'intervalle desquelles sont collées de petites bandes de papier, présentant successivement toutes les couleurs du spectre solaire dans l'ordre où elles se produisent naturellement et avec leur étendue relative.
(Je précise que NEWTON a divisé son disque en 5 parts égales de la décomposition la lumière solaire pour augmenter la vitesse visuelle de rotation de son disque).
Si l'on imprime à ce disque un mouvement de rotation rapide, toutes les bandes colorées viennent se peindre simultanément dans l’œil (c'est ce que l'on appelle la rémanence), et le disque, dans l'intervalle des zones noires, paraît blanc ou du moins blanc grisâtre.
Ensuite, je me suis penché sur les traités réalisés sur les couleurs et la vision par d'autres grands scientifiques: CHEVREUL (1786 - 1889), HERING (1834 - 1918), KRIES (1853 - 1928), HELMHOLTZ (1821-1894) etc ...
J'ai repris les travaux réalisés sur les couleurs subjectives de Gustav FECHNER (1801 - 1887), le daltonisme de John DALTON (1766 - 1844), les fentes de Thomas YOUNG (1773 - 1829), les disques de James Clerk MAXWEL (1831 - 1879), le cercle chromatique de Michel-Eugène CHEVREUL...
M. ROBARDET, d’après le cercle chromatique de CHEVREUL (peinture à l'huile sur papier à peindre)
Michel - Eugène CHEVREUL (1786 - 1889) est un chimiste français, directeur d'histoire naturelle de Paris en 1864, dirigeant au service des teintureries à la manufacture des Gobelins et ancien enseignant de chimie. Il est mort à 102 ans, son centenaire a été célébré en 1886, comme événement national, une médaille d'or a été frappée à cette occasion.
"CHEVREUL dans un exposé propose un classement universel de la couleur basé sur un cercle chromatique de 72 secteurs".
Michel ROBARDET, d'après le cercle chromatique de Chevreul
j'ai remplacé le bleu et le rouge par le Cyan et le Magenta
Étude pour la classification des couleurs de CHEVREUL en 1839
CHEVREUL en 1839 a découvert la "loi sur les contrastes simultanés" il démontrait ainsi à l'époque que les yeux pouvaient arriver à discerner 14.420 couleurs différentes partant du raisonnement suivant : en mélangeant les (3 couleurs de bases entre elles) on trouve (6 couleurs), en multipliant ces secteurs en 2, on trouve (12 couleurs), chaque secteur comprenant 6 parts ce qui donne (12 x 6 = 72 couleurs), (voir le cercle chromatique ci-dessus).
Ces nuances franches pouvant subir des modifications, plus nous ajouterons du blanc à chacune d'elles, plus nous obtiendrons de nuances identiques mais affaiblies (c'est ce que l'on appelle les couleurs dégradées), CHEVREUL a admis une dégradation en 20 stades, soit : (72 x 20 = 1.440 tons).
Les couleurs franches et les couleurs dégradées peuvent être ternies par l'addition d'une plus ou moins grande quantité de noir. (c'est ce que l'on appelle les couleurs rabattues).
CHEVREUL faisait le rabattement en ajoutant le noir par dixième ce qui lui permettait d'avoir avec une nuance franche, neuf nuances rabattues. les nuances peuvent être à leur tour dégradées en 20 tons. En dégradant le noir, nous aurons (20 gris de plus en plus clairs).
En résumé, la méthode de CHEVREUL permet de définir :
Mélange des trois couleurs de bases entre elles : 3 x 2 = 6 couleurs
Multiplication de ces secteurs en 2, on trouve : 6 x 2 = 12 couleurs
Multiplication de chaque secteur par 6, on trouve : 12 x 6 = 72 couleurs
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Couleurs franches et dégradées : 72 x 20 = 1.440 tons
Couleurs rabattues et dégradées : 72 x 9 = 648 tons ; 648 x 20 = 12.960 tons
Couleurs grises : 20 tons
Total : 1.440 + 648 + 12.960 + 20 = 14.420 tons (D'après le ''Manuel du peintre '' de Ch. COFFIGNER 1938)
Au congrès de Genève, en 1909, en se basant sur les mêmes principes on à porté à 80.000 le nombre de tons que les yeux peuvent arriver à différencier, maintenant, grâce aux ordinateurs on peut en recenser plusieurs millions.
En 1814, l'allemand Joseph Von FRAUNHOFER (1787 - 1826) opticien et physicien a découvert les raies du spectre solaire.
Décomposition du spectre solaire avec des lunettes ayant un grossissement puissant
d’après Fraunhofer (Images National Optical Astronomy observatory)
Lorsqu'on regarde un spectre avec une lunette donnant une amplification suffisante, on observe une multitude de petites raies noires très déliées, dirigées perpendiculairement à sa longueur. Ces raies, très nombreuses et inégales distantes les unes des autres, sont de véritables lacunes où la lumière fait en partie défaut.
Ensuite, c'est en partant des recherches faites par le physicien allemand HELMHOLTZ que j'ai pu mettre au point un nouveau système de "Contrastes Rotatifs" qui porte sur la " radiation de la lumière des tubes fluorescents blanc à vapeur de mercure" et dont je lui ai donné le nom de "ROBARDET".
Hermann Von HELMHOLTZ (1821 - 1894) ne pouvait pas faire cette découverte puisqu'il est mort avant que Robert William WOOD (1868 - 1955) ne fasse la découverte en 1903 de ce que l'on appelle la lumière de WOOD ou lumière noire (c'est à dire une lumière dont les tubes en verre laissent passer les rayons ultraviolets) et donne une lumière violette, dont ce principe de phosphorescence est encore utilisé de nos jours.
C'est en 1910 que Georges CLAUDE a découvert la radiation de l'éclairage au néon et qui donne uniquement la couleur "rouge".
Bien souvent on a tendance à assimiler les tubes au néon aux tubes fluorescents à vapeur de mercure.
Dans mes recherches sur le stimulus de la couleur, j'ai fait une étude sur l'influence néfaste de la lumière blanche des tubes fluorescents sur les couleurs. Partant d'un disque divisé en plusieurs parts équivalentes de noirs et de blancs, en le faisant tourner en présence uniquement de la lumière de tubes fluorescents : (NL-T8 58 W/765) et avec une vitesse qui permet de voir distinctement le noir et le blanc, sur le noir, j'obtiens le rouge, sur le blanc, j'obtiens un vert-bleuâtre.
Contrairement à BENHAM et à FECHNER, mes couleurs ne sont pas subjectives, mais bien réelles.
La rotation de mes disques capte le spectre de la lumière provenant des tubes fluorescents à vapeur de mercure, mais d'un individu à l'autre, il peut y avoir des variantes en fonction de la sensibilité des cônes de la rétine des yeux que peuvent mieux percevoir certaines personnes que d'autres.
La perception des couleurs par notre cerveau nécessite un jugement en trois dimensions.
C'est grâce aux informations recueillies par les capteurs photosensibles de la rétine que chaque objet, chaque surface, chaque perception de notre environnement est jugé en permanence par le cerveau en fonction de plusieurs paramètre qui vont du clair au foncé :
- une évaluation qui va du violet jusqu'au vert.
- une évaluation qui va du bleu jusqu'à l'orange.
- une évaluation qui va du vert jusqu'au rouge.
Système visuel humain
Les couleurs recueillies par les capteurs passent par la "rétine", le "nerf optique", ils se rejoignent dans le "chiasma optique" pour aller dans les "corps genouillés latéraux" pour aboutir ensuite, dans le "cortex visuel primaire", ensuite c'est le cerveau qui traite les informations.
Contrairement aux couleurs primaires des Beaux-Arts, les cônes de la rétine des yeux ne contiennent pas le : Jaune.
Par contre, à la place ils contiennent le vert : Les cônes de la rétine des yeux sont constitué du bleu, du vert et du rouge.
- les cônes "S" contiennent en majorité les pigments sensibles au bleu.
- les cônes "M" " " " " au vert.
- les cônes "L" " " " " au rouge.
Les lettres conventionnelles, S, M, L, viennent de l'anglais, Short, Medium et Long wavelinght, qui veulent dire, courte, moyenne et grande longueur d'ondes.
- les iodopsines bleu traduisent les couleurs : du violet, au bleu, jusqu'au vert.
- les iodopsines vert " " du bleu, au vert, jusqu'à l'orange.
- les iodopsines rouge " " du vert, au jaune, jusqu'au rouge.
iodopsines (d'après UVED)
Chez l'homme les cônes sont au nombre de 3 à 4 millions, ils sont concentrés sur la fovéola qui se trouve au centre de la rétine.
Coupe de la rétine centrale (d'après le Guide-vue.f)
Dans la rétine des yeux, il y a également les bâtonnets, ces bâtonnets sont au nombre de 92 à 100 millions, ces bâtonnets se trouvent au fond de la rétine et ne peuvent pas percevoir la couleur, ils ne permettent de voir qu'une vision scotopique (c'est à dire qu'avec une faible luminosité). Cette vision n'est qu'en noir et blanc, avec les nuances de gris. (Wikipédia)
Découverte protégé juridiquement
Pour voir apparaître des couleurs autres que celles présentes sur ces disques, il faut qu'avec la rotation des disques, on puisse voir distinctement chaque élément coloré de ces disques en présence de la "lumière blanche de tubes fluorescents à vapeur de mercure". (voir ci-dessous les couleurs ainsi obtenues).
A partir de ma découverte sur les "contrastes rotatifs" noirs et blancs, j'ai étendu ce même principe aux couleurs du spectre solaire: le violet, l' indigo, le bleu et le vert réagissent également à la lumière des tubes fluorescents, en faisant réagir le blanc.
La rotation du violet donne un rose-rougeâtre et le blanc, un bleu pâle.
Le rotation du bleu ou de l'indigo donne un rose-rougeâtre et le blanc un bleu pâle.
La rotation du vert donne un vert-rougeâtre et le blanc un vert clair.
L'ensemble des couleurs ainsi obtenues par rotations ont des effets de couleurs pastel.
Par contre : le jaune, l'orange et le rouge ne réagissent pas à la lumière des tubes fluorescents qui ont une incidence sur la couleur blanche qui se fonce sans se colorer.
Partant du principe d’ OSTWALD qui disait qu'un gris intermédiaire renvoie 14 % de lumière qu'il reçoit, j'ai réalisé des expériences avec des teintes grises :
- J'ai composé en premier un disque avec un gris mélangé à 50 % de blanc et 50 % de noir, la rotation de ce disque donne un rouge sur le gris et la rémanence sur le blanc donne un vert-bleuâtre, un peu plus dégradé qu'avec celui obtenu avec le noir.
- J'ai réalisé un autre disque avec un gris mélangé à 50 %, partant du gris déjà mélangé à 50 %, le résultat obtenu est à peu prés le même, sauf qu'il est légèrement dégradé par rapport au premier. Je pense que les résultats obtenus avec des gris de plus en plus dégradés devraient donner les mêmes résultats, jusqu'au moment où l'on ne peut plus faire de différence entre le gris et le blanc.
En conclusion : la lumière des tubes fluorescents n'agit que sur les couleurs froides, le bleu et les couleurs contenant du bleu : (bleu + jaune = vert); (bleu + rouge = violet).
- Le noir et le gris pouvant être considéré comme des teintes froides. Le gris réagit à ce type de rotation puisqu'il est composé de noir. Les couleurs qui réagissent à la lumière des tubes fluorescents font réagir avec elles la couleur blanche.
Le blanc ne se colore pas, c'est la rétine des yeux par rémanence qui donne lieu à un phénomène de contrastes. (voir la rémanence visuelle de Ewald HERING).
Rémanence : la rémanence est une illusion d'optique, c'est la propriété d'une sensation qui subsiste après la disparition du stimulus et de la persistance rétinienne d'une couleur. Le physicien et mathématicien Belge Joseph PLATEAU (1801 - 1883) a expliqué au XIX° siècle le fonctionnement de la persistance rétinienne (Wikipédia). Dans ma découverte sur les contrastes rotatifs, la rotation du noir capte les rayons émis par les tubes fluorescents, et le noir devient rouge, du fait de la rotation persistante de ce rouge, la rétine des yeux se fatigue et 1/25° de seconde après, ce même rouge donne l'illusion de sa couleur complémentaire, à savoir, un vert-bleuâtre sur la couleur blanche, il en va de même avec les disques de couleurs violettes, bleues, vertes et grises.
Pour faire réagir le noir, le gris, le violet, l'indigo, le bleu et le vert, le blanc est indispensable. En effet, en faisant l'expérience avec un disque moitié noir et moitié bleu (deux couleurs qui réagissent à la lumière des tubes fluorescents) rien ne se passe du fait de l'absence du blanc.
Il y a eu beaucoup de physiciens et de scientifiques qui ont voulus voir les couleurs que l'on pouvait obtenir par la rotation de disques divisés en plusieurs parts de noirs et blancs, mais très peu ont tentés l'expérience avec des disques de couleurs en rotation et de voir par rémanence les couleurs ainsi obtenues, il n'y a pratiquement que NEWTON, Ewald HERING, Clerk MAXWELL, OSTWALD et moi-même (à ma connaissance). Cependant, les fentes de Thomas YOUNG ont permis de mettre en évidence la nature ondulatoire de la lumière.
Thomas YOUNG (1773 - 1829) est parti du principe de l'expérience de Newton qui faisait passer de la lumière à travers un petit trou.
En 1801, Young a fait une expérience en faisant passer de la lumière à travers deux petites fentes parallèles et de les projeter sur un écran. La lumière en passant par ces fentes est diffractée et produit des franges d'interférence, (c'est-à-dire une alternance de bandes éclairées et non éclairées), Young en a déduit la nature ondulatoire de la lumière. (Wikipédia)
Pour cette découverte de YOUNG sur le phénomène d’alternance de (bandes éclairées et non éclairées) je pense avoir trouvé une explication. Il faut remonter à la découverte de FRAUNHOFER sur les raies du spectre solaire (ces raies sont de véritables lacunes où la lumière fait en partie défaut), ce qui expliquerait qu'il y a (une alternance de bandes éclairées et non, éclairées) dans les fentes de YOUNG.
Simulation des interférences obtenues après les fentes de Young, les deux points en bas de limage sont les sources de lumière (Wikipédia).
J'ai fait cette constatation en comparant en même temps les deux découvertes, la découverte sur les (raie du spectre solaire) de FRAUNHOFER (voir un peu plus haut) et les doubles fentes de YOUNG qui (alterne des bandes éclairées et non éclairées) (Wikipédia, voir ci-dessus), la conclusion m'a paru évidente, surtout que les bandes non éclairées ont l'air d'être perpendiculaires par rapport à la lumière dans les deux cas.
Bien sûr les scientifiques ont d'autres théories, la découverte de YOUNG a également était réalisé par des scientifiques avec de la matière comme les électrons, neutrons, atomes, molécules avec lesquels on observe des interférences en se servant de rayons laser.
En ce qui me concerne, j'ai voulu tenter de me mettre à la place de YOUNG à l'époque de sa découvert en 1801, ce n'est que 13 ans après, en 1814 que FRAUNHOFER a découvert que dans la lumière, il y avait des raies dont la lumière est absente, ce qui pour moi peut justifier les (alternances de bandes éclairées et non éclairées) dans la découverte de YOUNG.
Le physicien allemand Max PLANCK disait que : "Si mes équations me disent que quelque chose est vrai, peu importe que tout le monde pense le contraire ...".
Max PLANCK (1858 - 1947) après le baccalauréat, il part à Berlin afin d'apprendre sous la direction de HELMHOLTZ et de KIRCHHOFF. Il est déçu des cours qu'on lui dispense et prend la décision de travailler en solitaire par la lecture et l'étude, ce qui ne l’empêche pas de soutenir une thèse en doctorat sur la théorie de la chaleur : "le second principe de la thermodynamique, les états d'équilibre des corps isotropes aux différentes températures". En octobre 1900, il découvre ainsi la loi spectrale du rayonnement thermique dans le vide. (Astropolis.fr)
Max PLANCK a créé une nouvelle physique : la physique quantique (Astropolis.fr)
En ce qui me concerne, j'ai été dans la même position que Max PLANCK, je suis sorti de l'école à l'âge de 14 ans sans obtenir le certificat d'études primaires. Après avoir appris la menuiserie pendant 2 ans, à 16 ans j'ai été apprenti carrossier pendant 3 ans, dont j'ai obtenu le C.A.P. de peintre en voiture et avoir travailler pendant plusieurs années comme peintre chez l'équipementier automobile VALEO, du fait de la polyvalence, je suis passé par les "bains par électrolyse", la "métallisation sous vide", la "plasturgie", etc...
J'ai eu la chance à l'âge de 28 ans d'avoir rencontré un ami de la famille, le graveur et sculpteur yougoslave François MOZES qui évoluait à Paris dans l'environnement de Joan MIRO. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à prendre des cours du soir de dessins et pentures artistique et que ma carrière artistique à commencée, avec des exposition permanentes à Paris ainsi que dans l'ensemble de l'hexagone et d'avoir une bonne renommée comme lithograveur.
C'est surtout à partir de ma retraite de lithograveur en 2001 que je me suis intéressé à la recherche scientifique en travaillant en solitaire et en commençant par la lecture de livres de mon père et de faire des recherches sur les plus grands scientifiques grâce à internet. Faire des recherches c'est bien, mais le plus important c'est de faire des découvertes. Malgré que je sois sorti de l'école primaire l'âge de 14 ans et sans diplômes, je pense que par ma volonté, ma vie professionnelle a été enrichissante.
Pour ma découverte sur les "contrastes rotatifs", je n'ai pas fait de test avec des filtres colorés, ce n'était pas le but que je recherchais, le psychologue scientifique Henri PIERON (1881 - 1964) l'ayant fait avant moi avec des filtres Wratten. Après avoir lu le mémoire de Piéron sur "Le mécanisme d'apparition des couleurs subjectives de Fechner-Benham" qu'il avait réalisé avec des philtres colorés, j'ai constaté que le résultat obtenu par Piéron avec ces philtres de couleurs n'avait pas été probant.
(Actuellement il existe des tubes fluorescents qui diffusent de la lumière comparable à celle du soleil, genre lampes à LED, l'expérience avec de telles lumières ne peut pas marcher puisque mes disques ne réagissent pas à la lumière naturelle, de lampes à filaments incandescents, de lampes à LED, ni de lampes à vapeur de sodium).
Afin de comprendre la réceptivité des couleurs par le cortex visuel humain, j'ai rédigé en décembre 2015 un mémoire qui porte sur la découverte que j'ai réalisé en ce qui concerne " Les disques de Robardet ", sans toutefois expliquer (dans un premier temps) pourquoi la rotation de mes disques capte la lueur rougeâtre dégagée par la lumière des tubes fluorescents et la renvoie, le blanc réagissant uniquement par rémanence du fait de la rotation des disques. (J'ai donc rédigé un second mémoire en 2016 qui répond aux interrogations que je me posais).
Illusion d'optique (création ROBARDET)
Certains carrés paraissent en creux et d'autres en reliefs, verticalement, ils ne paraissent pas alignés, alors que cette figure est rigoureusement plane et que les carrés sont rigoureusement alignés les uns par rapport aux autres (en regardant cette figure simultanément à droite et à gauche, on peut voir des carrés qui scintilles par rémanence).
Ma découverte sur les contrastes rotatifs a été remarquée par un docteur en chimie belge, au cours du premier contact ce scientifique me dit : "... si vous désirez échanger quelques mails avec moi, les résultats de vos futures expériences m'intéressent, vous avez éveillé ma curiosité...".
Dans sa première analyse il déduit que : "... La lumière provenant des tubes fluorescents qui émettent de la lumière blanche mais dont le spectre est surtout caractérisé par 3 pics caractéristiques du mercure, un dans le bleu, un dans le vert et un dans le jaune... Le fonctionnement des disques rotatifs étant basé sur les couleurs rémanentes, les portions blanches donnent une impression de vert, les portions noires faisant apparaître la couleur complémentaire, à savoir le rouge.
Spectre d’émission des raies de tubes fluorescents blancs à vapeur de mercure
(Wikipédia)
Un spectre d'émission est produit par des gaz chauffés à haute température et qui émettent une Lumière dont le spectre est discontinu, ce spectre est émis par une source de lumière artificielle (tubes fluorescents à vapeur de mercure).
Ce type de raies est discontinu et séparé de noir : 1 raie jaune-orangé, 1 raie vert, 1 raie indigo, 1 raie violette.
Mais voilà, dans le nouveau système de contrastes rotatifs que j'ai découvert, c'est exactement le contraire qui se produit, c'est le noir qui en réfléchissant le spectre des tubes fluorescents donne la couleur rouge, le blanc jouant uniquement un rôle de rémanence en donnant sa couleur complémentaire, à savoir, un vert-bleuâtre.
Il faut donc trouver une autre explication que celle du rayonnement donnant dans le bleu, le vert, le jaune ou les ultraviolets, mais plutôt dans le rouge.
Matériellement, il n'y a que les couleurs froides qui réagissent à la lumière des tubes fluorescents, le blanc agissant uniquement par rémanence, je voudrais savoir : " Quel est le rôle positif joué par les teintes froides en présence des tubes fluorescents et pourquoi les teintes chaudes ne réagissent pas à cette lumière".
Ayant posé cette question à ce scientifique, il m'a fait une réponse étonnante : " Avant d'essayer de répondre à vos questions précédentes est-ce que vous avez déjà essayé de réaliser exactement les mêmes expériences avec des tubes d'autres températures de couleurs ( par exemple un 730 ou un 727 ou bien un 805 et un 827...; voire même un 965), ce qui ne répond pas à ma question sur la lumière des tubes fluorescents : (NL-T8 58 W/765).
Dans un autre contact, il me dit ''...en tant que scientifique j'ai besoin de connaître l'influence d'autres sources d'éclairages sur vos disques en rotations pour me permettre de faire avancer les choses...''
En fait, il m'a fait des réponses logiques de scientifiques, comme l'aurait fait n'importe lequel des scientifiques, mon père y compris, alors que les miennes sont plus pratiques que théoriques, j'ai acquis chez l'équipementier automobile VALEO une autre façon d'analyser.
Ce scientifique était parti du principe logique que les gaz chauffés à haute température émettent le spectre discontinu qui produisent des rayons ultraviolets ( voir le schéma d'émission des raies du mercure dans l'exemple développé un peu plus haut), ainsi que de la lumière noire de WOOD.
En tant que scientifique, il voulait que je fasse des expériences avec d'autres types de lumières, mais je pense que ce n'est pas en faisant d'autres expériences avec d'autres types de lumière que l'on va pouvoir répondre à la première question, même si les autres lumières réagissent ou pas à mes disques et pouvant apporter d'autres interrogations, il est fort peu probable que mes disques réagissent à d'autres types de températures ou d'éclairages, à moins que les tubes intérieurs soient tapissés de poudre blanche identique à celle des tubes : NL-T8 58 W/765. (Voir l'explication ci-après).
- Ce docteur de chimie n'a pas suivi les conseils de Wilhelm OSTWALD qui disait "Cela va de soi" des choses sur lesquelles on n'a pas réfléchi.
Je voulais simplement démontrer l'influence néfaste du spectre de la lumière blanche des tubes fluorescents à vapeur de mercure sur les couleurs. Le différent entre nous ne portait pas sur ma découverte puisqu' elle est incontestable, mais simplement sur la façon d'arriver à comprendre pourquoi mes disques en rotation arrivent à capter la "radiation de tubes fluorescents à vapeur de mercure".
Ce qu'il faut savoir sur les tubes fluorescents blanc à vapeur de mercure, c'est qu'ils contiennent une poudre blanche qui rend plus blanc la lumière diffusée.
Cette poudre est composée d'europium qui donne des raies rouges et oranges, ainsi que du terbium qui donne des raies vertes et bleues.
L'europium fait parti des terres rares, il est ductile, aussi malléable que le plomb et supra conducteur de l'électricité.
Le terbium est un métal très malléable, mou et ductile.
C'est Eugène-Anatole DEMARCAY qui a découvert l'europium en 1896, cet élément chimique porte ce nom du fait qu'il a été découvert en Europe. En 1896, DEMARCAY pensa que l'élément chimique "samarium" était contaminé par un élément inconnu et il isola "l'europium" du "samarium" en 1901 (Wikipédia)
Je suis le seul chercheur à avoir fait cette découverte sur la "radiation de la lumière des tubes fluorescents à vapeur de mercure" et je désirais qu'il me réponde à cette question, voulant régler ce problème de lumière de tubes fluorescents : NL-T8 58 W/765 avant de me diriger vers d'autres types de lumière.
En conclusion :
Je me trouve dans la même position que NEWTON lorsqu'il a découvert que la lumière blanche qui nous parvient du soleil lorsqu'elle passe à travers un prisme en verre se décompose en sept couleurs ( le violet, l'indigo, le bleu, le vert, le jaune, l'orange et le rouge).
En fait, en découvrant un nouveau système de "contrastes rotatifs" j'ai découvert également un nouvelle théorie sur la "radiation de la lumière blanche de tubes fluorescents à vapeur de mercure".
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En effet, les rayons ultraviolets des tubes fluorescents se heurtent à la poudre blanche qui tapisse les parois de ces tubes. Selon le chimiste allemand OSTWALD, le blanc renvoie 100 % de la lumière qu'il reçoit ... Les rayons ultraviolets sont donc réfléchis et diffractés dans toutes les directions à l’intérieur des tubes cylindriques, de ce fait, ils ne peuvent pas sortir vers l'extérieur. Cependant, le rayonnement ultraviolet est converti en lumière blanche qui diffuse à son tour un rayonnement émit par l'europium. (Raisonnement important pour la bonne compréhension de cette théorie sur la radiation de la lumière blanche des tubes fluorescents).
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Dans la rotation de mes disques, le blanc, (du fait de la rotation), joue uniquement un rôle de couleur complémentaire par rémanence, les raies vertes et bleues émises par le terbium n'ont aucune incidence dans ce type de contrastes rotatifs.
Ce qui explique que le blanc en rotation en présence de couleurs chaudes ne réagit pas, les couleurs chaudes étant insensibles au spectre de l'europium et du terbium.
La lumière blanche émise par le soleil quand elle passe dans un prisme en verre décompose les sept couleurs spectrales. Mon disque noir et blanc ( ou couleurs et blancs) quand ils sont en rotations agissent de la même façon que le prisme de NEWTON, ils captent les raies rouges de l'europium sur le noir ou bien sur les couleurs froides, les couleurs ainsi obtenues peuvent aller du rouge, au rose, jusqu'au vert rougeâtre, et toujours apportant un côté rougeâtre.
Les raies vertes et bleues du terbium n'ayant aucune incidence sur le blanc puisque celui-ci ne se colore pas en présence des couleurs chaudes : jaune, orange et rouge.
Si le blanc captait les raies de l'europium et du terbium, il se colorerait avec les couleurs chaudes, ce qui n'est pas le cas.
Ce qui me conforte dans ce raisonnement, c'est que lorsque les tubes fluorescents sont sur le point de se griller, les couleurs rouges et oranges émises par l'europium se mélangent et les extrémités des tubes deviennent rose-orangés et non pas violet, ce qui démontre que la décharge électrique produite en présence des vapeurs de mercure produit effectivement des ultraviolets, mais ils ne peuvent pas passer du fait de la poudre blanche.
j'ai eu la confirmation que mon raisonnement était le bon grâce à une vidéo de Google (mise en ligne le 10 juillet 2011). Dans cette vidéo, un technicien fait une démonstration de trois lampes à vapeur de mercure en formes d'ogives à 80 w. 125 w. et 250 W. L'ampoule à vapeur de mercure à 125 w est poudrée, sauf le dessous de la lampe qui ne l'est pas. Le technicien fait remarquer qu'en chauffant cette ampoule, la couleur rose apparaît à partir de la poudre et non à partir du tube en quartz. Ce même technicien précise que c'est bien la poudre qui apporte la couleur rose et pas le tube en quartz qui reste bleu.
Cette démonstration prouve que c'est bien la poudre à l'intérieur des tubes qui joue un rôle essentiel dans la diffusion du spectre des tubes fluorescents et non pas les températures de couleurs émises par les vapeurs de mercure.
Le rayonnement émis par l'europium à l'extérieur des tubes fluorescents est tellement important que ce phénomène se produit même en présence de la lumière naturelle.
Le résonnement de ce scientifique est logique lorsqu'il dit que "la lumière provenant des tubes fluorescents qui émettent de la lumière blanche, mais dont le spectre est surtout caractérisé par les 3 pics caractéristiques du mercure, un dans le bleu, un dans le vert et un dans le jaune ...".
Mais voilà, il a fallu que je découvre un nouveau système de "contrastes rotatifs" pour que je puisse arriver à développer une autre théorie.
Je pense que partant du principe de la captation des couleurs émises par les raies de l'europium sur des disques en rotations des chercheurs pourraient découvrir d'autres types d'énergies lumineuses.
J'ai fait un test avec des lampes à vapeur de sodium à haute pression, mes disques ne réagissent pas à ce type d'éclairage du fait que c'est un éclairage dans le jaune et qu'à l'intérieur il n' y a pas de poudre, les verres de ces lampes étant transparents. Quand ces lampes s'éteignent, elles restent oranges pendant quelque temps.
Je voudrais malgré tout remercier ce scientifique de m'avoir donné des conseils qui m'ont permis de faire une analyse assez objective de ma découverte, malgré le différent qui nous a opposé, les scientifiques voulant aller chercher des réponses beaucoup trop compliqués là ou elles peuvent être simples, j'en ai eu l'expérience tout au long de ma vie avec mon père qui était également scientifique en chimie des couleurs, chimiste biologiste et préparateur en pharmacie, ainsi que chimiste chez ISOGIL.
Je n'ai plus contacts avec ce scientifique, il a du être vexé dans la mesure où je lui ai fait parvenir des preuves que mon raisonnement était le bon.
Connaissant de ce fait la façon de travailler des scientifiques, j'ai toujours voulu aller au contraire des scientifiques droit au but, la ligne droite étant le plus court chemin pour aller d'un point à un autre, en évitant de perdre mon temps dans des raisonnements qui ne débouchent parfois sur rien et en restant le plus objectif possible.
Je cherche surtout a apporter des réponses simples et à la porté de tout le monde, même des néophytes, les scientifiques peuvent parfois se perdre dans des raisonnements complexes et perdre un temps précieux avant d'aboutir à une réponse positive.
Au cours de sa carrière de chimiste biologiste et de préparateur en pharmacie, mon père (1905 - 1998) a fait des recherches pour des organismes officiels, entre autres avec un pharmacien de 1° classe (comme on disait à l'époque) pour mettre au point une composition chimique et dont les documents officiels se trouvent à Rome au Vatican. Cette composition chimique consistait à conserver les os de la Sainte Emilie de VILLENEUVE qui est inhumé dans le "couvent bleu" de Castres (Tarn) et dont elle avait créé ce même couvent en 1836. En ce qui me concerne, j'ai eu l'occasion tout au long de ma vie de faire des expériences chimiques, en faisant parfois des découvertes surprenantes, mais dont il vaut mieux parfois ne pas les poursuivre.
"Mémoire sur les contrastes rotatifs'
''Manuel du peintre" (9 juillet 2010)
Le contact avec ce scientifique me fait penser à une autre expérience que j'ai vécue chez l'équipementier automobile VALEO. Cette autre expérience démontre qu'un simple ouvrier peut être parfois plus réactif qu'un scientifique, ingénieur ou bien un technicien, car ces personnes-là bien souvent veulent aller plus loin que ce qu'on leur demande et peuvent passer à côté de choses qu'elles ont devant le bout de leur nez.
En effet, en 1992, j'ai suivi chez VALEO des cours de "Qualité totale", nous étions dix salariés (cinq ouvriers et cinq ingénieurs et techniciens). Le dernier jour de stage, nous avons eu à résoudre un problème en une heure.
Les ingénieurs et techniciens dans une salle et nous les ouvriers dans un autre local, au bout de dix minutes seulement nous avons étés deux ouvriers à trouver simultanément la solution à ce problème alors que les ingénieurs et techniciens n'avaient toujours pas trouvés la solution au bout du temps imparti.
Au bout d'une heure, le formateur nous à tous réunis et nous avons donnés la solution à l'ensemble des ingénieurs et techniciens.
Les résultats obtenus dans les différentes usines du groupe ont dû être sensiblement les mêmes puisque à partir de ce moment-là il y a eu plusieurs urnes dans l'usine, chaque salarié avait le droit de déposer des propositions d’améliorations dans ces urnes, la meilleure proposition du mois était récompensée par un petit diplôme et une prime de 1000 francs.
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Dans mes recherches je me suis toujours efforcé de tenir compte de la citation d’Isaac NEWTON qui disait : "J'ai vu plus loin que les autres parce que je me suis juché sur les épaules des géants".
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Photo '' La Dépêche du midi '' dimanche 30 août 2015, photo Sylvie Ferré.
Art cinétique (création ROBARDET)
En fixant les cercles noirs et blancs on est ébloui et l'ensemble donne l'illusion de tourner.
Effets de rémanence (création ROBARDET)
En fixant quelques secondes les ronds rouge centraux et en regardant alternativement de gauche à droite et de droite à gauche, sur la partie gauche, on voit par rémanence des ronds verts et à droite des ronds rouges.
Dans mes figures géométriques, j'ai mis en évidence la découverte du chimiste allemand Wilhelm OSTWALD qui disait que le blanc parfait renvoie 100 % de la lumière qu'il reçoit, que le noir le plus profond en absorbe 98 % et n'en renvoie que 2 %, qu'un gris intermédiaire devrait en renvoyer 51 %, alors qu'il n'en renvoie que 14 %.
Ce qui donne pour les cercles noir et blanc une diffraction totale de la lumière de :
Blanc 100 % (diffracté) + noir 2 % (diffracté) = 102 %
Ce que l'on peut constater c'est que les cercles blanc et rouge sont moins réactifs à la lumière.
Exemple de la diffraction de la lumière sur le blanc et sur le noir
En octobre 2007, dans mon atelier qui me sert également de laboratoire pour mes recherches.
Cet exposé sur les couleurs est en quelque sorte un plan de travail, un aide-mémoire, mes recherches et découvertes n'engagent que moi. Si on veut comprendre comment marche l'univers qui nous entoure, il faut écrire parfois nos pensées les plus folles, c'est par ce biais que l'on peut faire des découvertes. Mais toujours en ayant un œil sur les découvertes déjà réalisées par les plus grands scientifiques et se servir d'elles pour tenter d'aller plus loin.
Au XIX° siècle, Albert EINSTEIN disait qu'il n'est pas possible d'aller plus vite que la vitesse de la lumière dans le vide (environ 300.000 Km/s). Cependant, la NASA étudie la faisabilité de voyages "supraluminiques" (une vitesse supraluminique est une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière), un jour des chercheurs arriverons à aller presque aussi vite que la vitesse de la lumière.
Quand un chercheur fait des découvertes, celles-ci ne sont pas dans l'absolu, d'autres chercheurs peuvent aller beaucoup plus loin. Le physiologue et physicien allemand Hermann Von HELMHOLTZ disait "Celui qui, dans ces recherches scientifiques, cherche à obtenir des applications pratiques immédiates, peut être généralement assuré qu'il cherche en vain. Tout ce que la science peut achever est une connaissance parfaite et une compréhension parfaite de l'action des forces morales".
Si je fais des recherches, je ne suis pas un scientifique, c'est pourquoi on ne verra pas chez moi de formules mathématiques ou scientifiques, mes recherches sont basées sur la logique matérielle des choses, plus que sur une théorie scientifique. Je laisse la place aux scientifiques le soin d'expliquer leurs recherches d'une façon scientifique.
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Lithogravure Robardet - Portraitiste